Soyons créatifs en 2023 !!!
L’AFSI vous présente tous ses meilleurs vœux pour une année riche en évènements. Gardons de grandes ambitions pour notre association et continuons de partager et d’échanger. Une richesse qui passe par l’engagement et l’implication même ponctuelle de chacun d’entre nous.
Les actualités Afsiennes ne manquent pas : ateliers, portraits, ciné́-clubs, tests de matériels, etc... Plongez-vous dans le site pour y découvrir les nouveautés. N’hésitez pas à l’alimenter et à participer !!!
Mais avant tout n’oubliez pas de renouveler votre adhésion ou de nous rejoindre. Il y a de nombreux tarifs attractifs particulièrement pour les jeunes !!!
Ne lâchons pas les salles !
Le montant de la place est souvent épinglé pour justifier l’absence de spectateurs. Il faut débourser en moyenne 7,04 euros, un chiffre en constante augmentation depuis 2017. Pourtant, une baisse des tarifs du cinéma n’est pas envisagée par les professionnels du secteur. Selon Richard Patry, président de la Fédération Nationale des Cinémas Français (FNCF), ce loisir n’est pas plus onéreux que d’autres activités culturelles : « Trouvez-moi une place de théâtre à moins de 7 euros. Allez à l’opéra pour moins de 7 euros. Si vous baissez le prix des places, on n’aura plus la possibilité́ d’investir ».
Gardons de la diversité́ !
« ...Une offre de films toujours aussi importante quantitativement (même nombre de sorties en 1ère exclusivité́ chaque semaine). Une programmation des cinémas qui se diversifie donc, mais avec, en contrepartie, une place accordée à chaque film plus limité...Une distribution qui se concentre davantage sur les 4 premières semaines et des films qui restent donc moins longtemps en moyenne à l’affiche. Rebond des performances par séance en 2021, mais toujours à un niveau de 23 % inferieur à la moyenne de 2017/ 2019. Si la tendance à la baisse était déjà̀ visible avant la crise, elle était liée à la multiplication des séances et non à une fréquentation en baisse.... Des spectateurs qui privilégient les « valeurs sûres », d’où un phénomène de concentration des entrées toujours élevé́ et qui semble s’accentuer en 2022. Coté́ exploitation, des circuits qui concentrent encore plus de parts de marché, en partie lié à leur stratégie de croissance externe ». (Source CNC 01/23).
Agissons sur le carbone !
« ...A compter du 31 mars 2023, les producteurs d’œuvres cinématographiques (long et court métrage) et d’œuvres audiovisuelles (série et unitaire), appartenant au genre de la fiction et du documentaire, devront fournir un bilan carbone des œuvres au moment de leurs demandes d’aides... Adoptée le 4 octobre par le conseil d’administration du CNC, cette mesure vise à accompagner les professionnels vers une transformation plus responsable des secteurs du cinéma et de l’audiovisuel, et de les sensibiliser à l’impact environnemental de leurs activités... Un bilan carbone prévisionnel devra être transmis au stade du devis de production, puis un bilan définitif détaillé au stade du devis final de production. L’élaboration de deux bilans permettra de fournir au CNC des données chiffrées sur l’impact environnemental des activités de création des œuvres. La conditionnalité́ des aides sera appliquée à compter du 1er janvier 2024 ».
(Source CNC).
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